Paléo Festival 2015 (2)

Deuxième jour. STOP. Chaleur. STOP. Envoyez-nous ventilation. STOP.

Mardi 21 juillet 2015

Réveil : trente degrés, pitié, sortez-nous de cette tente. Une douche est nécessaire, même obligatoire. Sauf qu’il y a trop de monde. Ca sera le robinet. Il ne nous faut que deux secondes pour être sèches.

Déjà fatiguées ?…

La nuit a été courte, petite sieste pour se requinquer, de quoi être en forme pour la soirée. À peine le temps de fermer les yeux qu’il faut déjà aller interviewer le groupe Lausannois Larytta. Nous les retrouvons en arrière-scène pour découvrir qui se cache derrière ce nom dont (ils nous confient) le groupe électro Justice s’est gentiment moqué lors de leur rencontre.

Au loin, nous entendons une voix douce accompagnée d’un piano, c’est l’heure d’aller voir Coeur de Pirate. Impossible de se frayer un chemin près de la scène, il y a beaucoup trop de monde. Qui aurait pu imaginer, il y a six ans, que la jeune québecoise qui jouait pour la première fois au Paléo au Club Tent, se retrouve face à une place des Arches comble.

The Script © Paléo / Lionel Flusin

The Script © Paléo / Lionel Flusin

 

Direction la grande scène pour raviver nos souvenirs mélancoliques d’adolescence avec The Script. Danny O’Donoghue, le chanteur du groupe n’a pas peur de se lancer, tel un vrai rockeur, dans la foule. Sensationnel.

Boarp, Boarp… Le ventre gargouille…

The Dø © Paléo / Claude Dussez

The Dø © Paléo / Claude Dussez

Hamburger dans les mains, nous attendons le début du concert de The Dø. Les premières notes retentissent. Le duo français interprète leur succès avec entrain et fait danser la foule. Seul petit bémol, le manque d’interaction avec le public qui aurait rendu ce concert encore plus fou.

L’heure avance et c’est tout gaiement que nous allons vers la grande scène pour écouter le groupe mythique Kings Of Leon. Les chansons se succèdent et les rythmes magiques achèvent la foule. Les musiciens terminent leur show avec Sex On Fire. La foule est en délire et, à peine les amplis débranchés, elle se rue aux autres scènes pour la fin de soirée.

Alo Wala au Club Tent et Madeon aux Arches, de quoi faire s’agiter même les plus fatigués.

Do you love the baaaaaass ?…

Ca n’est pas terminé ! La taverne de la place des Asses met à fond tous les titres de chanson française les plus connus. La foule s’amasse et puis les festivaliers se dirigent vers la guinguette pour écouter Patate Douce qui enchaîne les morceaux hip hop. Ils dépassent même le couvre feu tant l’ambiance est bonne et la nuit fraîche. A contre cœur, mais raisonnablement, nous allons retrouver notre bivouac.

Bonne nuit les amis, bisous…

© Paléo / Pierre Descombes

© Paléo / Pierre Descombes

 

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Une révérence qui tire droit au cœur

Un homme, une révérence, un frisson…

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Animale, la bestialité et le traumatisme.

La Camargue et ses courses de taureaux, un soleil abrasif qui fait coller la peau, du sang qui gicle sur les habits et la bave qui coule, savonneuse et bouillante sur le museau de bêtes enragées, voilà l’atmosphère du film « Animale » de Emma Benestan qui est présenté dans la compétition internationale du NiFFF 2024.

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She loved blossoms more, le rêve éveillé

Direction la séance presse du NIFFF 2024. Ce film connaissait, de ce j’avais entendu, des avis divergents. Un synopsis intrigant avait de quoi me séduire. C’est ainsi que de bonne heure j’ai découvert ce film.

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Voltige survoltée ! Animal

J’ai enfin ris au théâtre cette saison ! Et je retrouve le bonheur grâce à eux ! Merci !

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Excalibur – L’épée de la destinée

Un cinéma ? Non. Un théatre? Non plus. Un théâtre cinéma ? Oui !

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